Imubiome

Le concept ImuBiome

Le microbiome intestinal est un organe évolutif et dépend en premier lieu de notre alimentation.

« Nous sommes ce que nous mangeons » est parfaitement vrai pour notre microbiome.

Le microbiome = 10 fois plus de cellules que l’organisme humain

Le microbiome = plus de 200 fois le nombre de gènes par rapport à l’organisme humain.

Notre approche nutritionnelle adaptée a votre microbiome sur la base du résultat ImuBiome et avec l’appli menus4me vous aidera à :

  • Optimiser votre microbiote
  • Renforcer votre immunité
  • Diminuer votre terrain inflammatoire
  • Retrouver votre équilibre émotionnel
  • Adapter votre alimentation
  • Soutenir d’éventuelles thérapies médicales

Le test ImuBiome va déterminer le statut de votre microbiome dans le contexte de plusieurs troubles métaboliques et son impact sur différents états de santé.

Pour cela nous avons choisi d’utiliser comme référence de microbiote d’une cohorte européenne saine à laquelle votre microbiote sera comparé.

Le résultat ImuBiome n’est pas un diagnostique d’une maladie, mais positionne votre microbiote par rapport un à microbiote sain et donne des indications si votre microbiote favoriserait une déstabilisation de votre santé.

Avec la connaissance des besoins spécifiques en nutriments des bactéries, ImuBiome va vous aider à adopter une alimentation correcte pour corriger et optimiser votre microbiote.

Votre microbiome est aussi individuel que vous-même.

Le test ImuBiome va :

  • Déterminer le statut de votre microbiome.
  • Le comparer à une signature d’un microbiote d’une cohorte européenne saine
  • Établir son impact probable sur différentes maladies.
  • Vous fournir des recommandations micro- et macro-nutritionnelles.
  • Vous donner accès à menus4me, l’application unique de recettes individualisées selon le profil ImuBiome.
  • Être compatible avec le résultat ImuPro, c’est à dire que Menus4me ne va sélectionner que des recettes qui à la fois prennent en compte les résultats ImuPro et ImuBiome et ceci en rotation pour vous alimenter de façon variée sur une période de 4 jours.

Comprendre le microbiote

L’écosystème intestinale joue un rôle primordial pour notre santé.

Il est principalement composé de la barrière intestinale physique, donc la paroi intestinale, ainsi que le microbiome, l’ensemble des bactéries, virus et champignons qui colonisent notre intestin et du système immunitaire associé à l’intestin. La paroi intestinale n’est constituée d’une couche monocellulaire de cellules épithéliales. Ces cellules sont accrochées l’un à l’autre par un système de protéines, appelé jonctions serrées. Si ces jonctions serrées sont perturbées l’intégralité de la barrière intestinale est impacté et conduit à une augmentation de la perméabilité intestinale. Le résultat est un afflux de toxines microbiennes et de protéines alimentaires dans la circulation sanguine.

Le microbiome intestinal des individus en bonne santé est principalement symbiotique (en équilibre avec l’hôte) et joue un rôle important dans le métabolisme de l’hôte, la modulation et le développement immunologiques, la signalisation cellulaire, la résistance à la colonisation contre des agents pathogènes et la régénération et homéostasie des muqueuses. Il garanti une alimentation adéquate de la paroi intestinale, indispensable pour une perméabilité intestinale intacte.

Le test ImuBiome va déterminer votre microbiome dans sa diversité, l’état de dysbiose, votre entérotype et son impact sur :

Sommaire

La barrière intestinale

La paroi intestinale est constituée d’une couche monocellulaire de cellules épithéliales, des IgA sécrétoire et d’une flore bactérienne spécifique qui nourrissent les cellules et en même temps inhibe la colonisation de pathogènes.  

L’équilibre de cette flore bactérienne est essentiel pour garantir une perméabilité intestinale correcte. La muqueuse intestinale représente la plus grande surface d’échange du corps humain au monde extérieur.  Les cellules épithéliales sont accrochées l’un à l’autre par un complexe de protéines, appelé jonctions serrées. Si ces jonctions serrées sont perturbées l’intégralité de la barrière intestinale est impactée et conduit à une augmentation de la perméabilité intestinale. Le résultat est un afflux de toxines microbiennes et de protéines alimentaires dans la circulation sanguine.

L’inflammation intestinale

Sous l’épithélium intestinal, la lamina propria abrite différentes cellules immunitaires qui sont destinées à produire une réponse inflammatoire, pour protéger l’organisme, et garantir l’équilibre (empêchant des réponses exacerbées) ainsi que la tolérance immunitaire et alimentaire. L’intestin est un organe immunitaire important; environ 80% des cellules B et plus de 60% des cellules T de l’organisme sont situées dans la muqueuse intestinale. Il existe également des cellules épithéliales intestinales spécialisées (« cellules M ») qui reconnaissent les antigènes de la lumière intestinale et les présentent aux lymphocytes situés dans la membrane muqueuse, qui sont organisés sous forme de follicules lymphatiques. Des études ont montré que le microbiote maintient un dialogue étroit avec système immunitaire de l’hôte, étant nécessaire au développement d’un système de défense pleinement fonctionnel.

Un microbiome déséquilibré prépare le terrain pour un environnement pro-inflammatoire pouvant impacter chaque partie de l’organisme et contribuer au développement d’hypersensibilités alimentaires.

L’équilibre métabolique

Tout ce que nous mangeons sera transformé par notre microbiote. Le proverbe « nous sommes ce que nous mangeons » s’applique particulièrement au microbiote. Il est le reflet de notre alimentation. Si nous mangeons beaucoup d’hydrates de carbones, notre flore s’adaptera à bien métaboliser les hydrates de carbones, si nous avons un apport élevé en protéines, notre microbiote s’adaptera à mieux digérer les protéines. Le microbiote va donc avoir un impact sur l’efficacité d’utilisation de ces macronutriments et va contribuer au développement du syndrome métaboliques, de l’obésité, du diabète, etc. Certaines bactéries vont produire des métabolites ayant un effet négatif sur le système cardio-vasculaire.

L’interaction intestin-cerveau

La communication entre le SNC, l’intestin et le microbiote passe par ce que l’on appelle l’axe intestin-cerveau (GBA), un réseau de communication bidirectionnel complexe entre l’intestin et le SNC et par les métabolites produits par le microbiote.

Cet axe implique différentes voies telles que le système nerveux autonome et entérique, le système endocrinien, l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HPA), le système immunitaire, le microbiote et ses métabolites.

Plusieurs neurotransmetteurs et métabolites tels que les vitamines essentielles, les acides biliaires secondaires, les acides aminés et les acides gras à chaîne courte (AGCC) modulent de nombreuses voies du système immunitaire qui influencent le comportement, la mémoire, l’apprentissage, la locomotion et les troubles neurodégénératifs.

Les microbes peuvent produire des molécules neuroactives qui contribuent directement à la communication entre l’intestin et le cerveau.

La résistance à la colonisation

La résistance à la colonisation est le mécanisme par lequel le microbiote intestinale se protège contre l’incursion de nouveaux micro-organismes souvent nuisibles. Un marqueur important est la présence de bactéries capables de produire de peroxyde d’hydrogène et certaines substances bactériostatiques.

La capacité de production d'acides gras à courte chaines

Les acides gras à courtes chaînes représentent un élément clé pour la nutrition et l’intégralité des cellules épithéliales. Ces acides gras en particulier, l’acétate, le propionate et le butyrate doivent être produites par le microbiote et participent au développement et à la différenciation des cellules immunitaires, notamment celles régulatrices.
Le propionate exerce un effet anti-inflammatoire.
L’acétate et surtout le propionate participent au contrôle du poids à la manière d’un
coupe-faim, Un déficit et/ou un excès en AGCC va participer à l’installation de dysfonctionnements au niveau immunitaire, métabolique, trophique…

La régulation du taux d'histamine

L’histamine est bien connue pour son rôle dans l’allergie à IgE. Il joue aussi un rôle important dans la régulation de la tension artérielle par son action vasodilatatrice.

A part de l’histamine produite par notre organisme, l’alimentation est surtout le microbiote sont des sources importantes d’histamine. Une production excessive d’histamine par les bactéries intestinales peut conduire à des symptômes similaires à une allergie, c’est à dire chute de tension artérielle, transpiration, démangeaisons, crampes, problèmes digestifs.

La diversité bactérienne

Il est scientifiquement reconnu que la diversité bactérienne est la clé pour une bonne santé. Une pauvre diversité bactérienne est impliquée dans plusieurs maladies et est directement liée à l’alimentation.

Des études ont montré qu’une alimentation monotone favorise une abolition de la diversité bactérienne. La diversité bactérienne a tendance à diminuer avec l’âge.

La dysbiose

Le contraire de symbiose est appelé dysbiose. C’est un état dans lequel le microbiome est déséquilibré et ne peux plus accomplir son rôle protecteur pour l’organisme humain. Il produira des substances toxiques, favorisera la colonisation d’autres bactéries potentiellement pathogènes. Un microbiome en état de dysbiose va avoir des répercussions sur notre comportement via l’axe intestin-cerveau, peut avoir un impact de déréglage du système immunitaire et bien évidemment causer des problèmes intestinaux.

Le test ImuBiome

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ImuBiome et ImuPro

Réparer la barrière intestinale est certainement un des aspects le plus important pour éviter le passage de molécules pro-inflammatoires. Mais tout d’abord, il faut comprendre les mécanismes qui ont abouti à une hyperperméabilité intestinale.

Les aliments que nous consommons ont d’un côté un effet sur la composition du microbiote et d’un autre côté ils peuvent eux-mêmes solliciter le système immunitaire en déclenchant la production d’anticorps IgG pro-inflammatoires. Dans ce cas, ces aliments créent un environnement pro-inflammatoire dans l’intestin, qui à son tour favorise un microbiote pro-inflammatoire. Pour arrêter ce cercle vicieux et pour améliorer la barrière intestinale il ne suffit pas uniquement de changer son alimentation selon les besoins de son microbiote, mais il faudra surtout identifier les aliments qui sont IgG positif. Il se peut que certains aliments potentiellement bénéfiques pour le microbiote ne soient pas tolérés par le système immunitaire de l’hôte, mais qu’ils vont au contraire maintenir un environnement pro-inflammatoire délétère pour la barrière intestinale.

ImuPro pourra identifier ces aliments à éviter et la méthode ImuPro permet à tout un chacun de gérer son alimentation sans régime strict à moyen et long terme

 

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